UN APERÇU DES PAGES INTERNES DES OUVRAGES EN VENTE - LE BON DE COMMANDE COMPLET

Grâce à l'initiative d'un membre de la première heure qui voulait disposer de la collection complète des ECHOS DU PLATEAU, nous mettons aussi en vente nos packs des premiers Echos!

Retrouvez les modalités ICI.

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UN APERCU DES PAGES INTERNES DES OUVRAGES EN VENTE

Ce très bel ouvrage «consacré au soldat artiste - sculptures et graffitis laissés par les combattants de la Grande Guerre dans le Soissonnais», comme le souligne son avant-propos, se présente au moins autant comme un livre d’art qu’une publication historique. Il représente l’aboutissement de plus de vingt ans de recherches et de travaux de l’Association «Soissonnais 14-18», créée en 1986 à l’occasion du sauvetage de la carrière de Confrécourt, un lieu privé dans la vallée de l’Aisne, dont le riche patrimoine sculptural de 1914-1918 se trouvait alors fortement menacé par le vandalisme des collectionneurs de traces de la Grande Guerre. (Notre revue avait salué cette initiative en son temps, publiant en 1988, dans son n° 40 consacré au «Soissonnais militaire», une première étude sur ce thème de Roger LARCHEVEQUE, l’un des fondateurs de l’Association tout récemment disparu). Depuis sa création, l’association a pu mener, avec l’aval et le concours de la DRAC de Picardie, un inventaire systématique portant sur quelque 350 sites d’un Soissonnais étendu jusqu’au Noyonnais et Compiègnois (château de Pierrefonds), en s’efforçant de préserver chaque lieu et d’y constituer un dossier photographique, accompagné d’un éclairage historique réalisé à partir d’une recherche bibliographique et archivistique. D’emblée les chercheurs bénévoles se sont souciés de l’intérêt artistique de ces oeuvres d’ampleur variable, allant du simple graffiti, humble trace du passage ou du séjour d’un soldat, jusqu’à des sculptures très élaborées, émanant parfois d’artistes professionnels.

Le Graffiti des tranchées, Graffitis, sculptures et autres traces de la Grande Guerre, dans les commentaires de la société historique de Soissons

Le présent ouvrage, dont le projet a été lancé dès 1999, offre au public un magnifique témoignage de cette richesse artistique et historique, par l’abondance et la qualité de son iconographie, qui en font un très beau livre à un prix abordable (43 € pour 287 p. au format 21 x 289,7 cm). Après une présentation géographique et géologique du Soissonnais, pays de carrières calcaires pour la pierre de taille et les champignonnières, le livre retrace les grandes batailles de l’Aisne de 1914 à 1918, avec le point culminant du Chemin des Dames en 1917. Le chapitre «Nous entrerons dans la carrière» est ensuite consacré aux témoignages écrits et photographiques recueillis sur le séjour souvent prolongé des soldats, tant des militaires francais et alliés que des Allemands, qui fréquentèrent, occupèrent, aménagèrent et ornèrent ces lieux souterrains protecteurs, pendant les 4 ans de la guerre. La partie essentielle du livre est consacrée à une présentation des oeuvres elles-mêmes, après une étude des méthodes et des motivations, des supports et techniques employés par leurs auteurs. Elle est enfin illustrée par un large et riche album thématique des réalisations, classées selon leur contenu : être des hommes, l’esprit de corps, portraits de combattants, la guerre, les tranchées, être patriote, être né quelque part, les mots du front, commémorer, la foi, la pensée, Dieu, la femme, érotisme et grivoiserie, caricature et humour, bestiaire et symboles. L’ensemble reflète les principales préoccupations de ces artistes émouvants, si révélateurs de l’esprit du front soissonnais.

A lire absolument pour découvrir sous la plume d'Hervé Vatel tous les portraits 1914 glissés par Tinayre, le peintre du détailde ce tableau acquis en 2019 et dont le lieu, centré sur l'autel, est visitable.

Retrouvez l'histoire incroyable de ces tableaux dans 2 de nos articles (Valoriser les témoins historiques, la venue d'un des descendants des dessinateurs-journalistes Tinayre ICI & L'histoire mémorable du tableau de Louis Tinayre Messe de minuit 1914 ICI)

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UN APERCU EN IMAGES DU BON DE COMMANDE

Soissonnais 14-18, Le Graffiti des tranchées.
2008,Format 220X300 mm.
288 pages couleurs.
Papier ½ mat 150 grammes.
400 photographies inédites.
Couverture cartonnée.

Pour la première fois, un ouvrage est consacré aux graffitis des tranchées. Ce terme générique désigne l’ensemble des traces dessinées, peintes, gravées ou sculptées par les combattants de la Première Guerre Mondiale. Comme s’accordaient à le dire les journalistes de l’époque, le Soissonnais est le berceau de cette forme d’art née de l’immobilisme de la guerre des tranchées. Ces graffitis investissent tous les supports, des parois rocheuses des carrières souterraines aux murs des maisons… L’association Soissonnais 14-18, qui fait depuis plus de 20 ans l’inventaire de ce patrimoine exceptionnel, propose dans ce livre un regard actuel sur l’état de ses recherches et vous invite à découvrir cette iconographie insoupçonnée. En l’associant à des images d’archives et à l’étude des différentes techniques employées par ces « soldats-artistes », elle dévoile un album de photographies inédites, révélant un aspect méconnu de la Grande Guerre.

43.00€

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Jean Prévot, Carnets d’un ambulancier et pharmacien, 1915-1918.
Edition des Equateurs, 2007, 317 p.

Jean Prévot se porte volontaire pour « l’avant » en 1915. Affecté à la 4e ambulance de la 37e division, ambulancier puis pharmacien, il tiendra au jour le jour ses carnets. Pendant quatre années, il va raconter la vie des hôpitaux de campagne, des blessés. Avec réalisme et calme, d’une écriture sèche et tendue, il rapporte l’horreur, l’effroi et l’absurde d’une guerre où le matériel est souvent archaïque et l’administration pesante. Jean Prévot récupère blessés et gazés. Il faut amputer, piquer, panser. L’huile de camphre, la strychnine, la morphine ne suffisent pas. La mort devient un cortège de statistiques. Ce document est exceptionnel car il est rare de retrouver de tels carnets dans leur continuité. Ils constituent un témoignage majeur sur la vie quotidienne du personnel soignant pendant la Grande Guerre.

22.00€

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Soissonnais 14-18, Je t’écris de Vingré…
Correspondance de Jean Blanchard, fusillé pour l'exemple le 4 décembre 1914
2006, 139 p.

Grâce aux archives familiales conservées par Madame Guillalot, l’Association Soissonnais 14-18 vous propose la correspondance inédite de Jean Blanchard, fusillé pour l’exemple le 4 décembre 1914 à Vingré. Composée de 20 lettres et de 10 cartes postales adressées à son épouse Michelle, cette correspondance permet de retracer la vie de Jean Blanchard du début de guerre (14 août 1914) jusqu’aux événements dramatiques du 4 décembre 1914. Complétée par les pages du carnet journalier de Jean Blanchard, où il notait brièvement ces impressions de terrien : climat, condition de vie, faits marquants… et associée au JMO du 298e R.I., ce livre forme un témoignage exceptionnel d’un des six fusillés de Vingré, pris dans la tourmente du début de guerre et relatant l’incapacité des officiers à tenir leurs hommes.

20.00€

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Jean-Luc PAMART,Le paysan des Poilus
Livre de poche,réédition 2014, 184 p.

Dans le Soissonnais, à seulement 90 Km de Paris, la Première Guerre mondiale continue de narguer l’armistice, sur l’ancienne ligne de front, pas un jour sans que 14-18 n’ouvre ses plaies. Agriculteur de la région, Jean Luc Pamart cohabite depuis son enfance avec le spectre de la Grande Guerre. Témoignage d’un homme révolté, ce livre déclare la guerre à l’oubli et aux pilleurs de tombes.

10.00€

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Alix DROZ,
Carnet de route
2014

Alix Droz, caporal au 35e régiment d'infanterie de Belfort, est fait prisonnier le 20 septembre 1914, lors des combats d'Autrêches (Oise). En 1931, sous la forme d'un tiré-à-part, il publie son carnet de route. Celui-ci, complété et documenté, devait paraître à nouveau en 1940, mais il fut saisi par la Gestapo.

Tout au long de sa vie, Alix Droz n'aura de cesse de reprendre ce travail pour essayer de comprendre pourquoi son bataillon fut encerclé par les Allemands le 20 septembre. Il revient même en pèlerinage sur les champs de bataille de 1914 et à Autrêches en particulier.

Son fils, René Droz, a préservé ces documents et photographies. Il nous permet aujourd'hui d'éditer ce carnet de route, enrichi de notes complémentaires inédites et de recherches récentes concernant notamment les combats autour d'Autrêches le 20 septembre 1914.

22.00€

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Soissonnais 14-18,Les carrières de Confrécourt
2013, 50 p.

La version en couleurs actualisée et augmentée de nouvelles iconographies issues des collections Soissonnais 14-18 et des galeries photographiques des sites ont été intégrées à cette plaquette ré-éditée en mai 2013

10.00€

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hélas épuisé ! Clermont, Emile.
Le passage de l’Aisne
Soissonnais 14-18,
2002, 158 p.

Cet ami d’Henri de Montherlant propose une évocation inédite et talentueuse de la bataille de la Marne, du passage de l’Aisne et de l’enlisement dans les tranchées du Soissonnais à travers l’itinéraire du 238ème R.I. de Saint-Etienne.

20.00€

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 Hervé Vatel, Messe de minuit dans les carrières de Confrécourt, 1914, plateau de Nouvron, Louis Tinayre, 2020, 34 p.

Quelques éléments biographiques introduisent la découverte de l'oeuvre, puis l'auteur se consacre à détailler la cérémonie documentée et des annexes prolongent l'analyse.

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Bertier de Sauvigny (de), Albert
PAGES D’HISTOIRE LOCALE 1914-1919, notes journalières et souvenirs (Coeuvres)
Soissonnais 14-18,
2001, 523 p.

Albert de Bertier de Sauvigny (1861-1948) : un témoignage fidèle, sobre et vivant de la vie du village de Coeuvres dans le Soissonnais à travers les mémoires du maire de la commune. Ce livre, illustré de documents et de photographies représente ainsi une source de premier ordre quant à la reconstitution des conditions de vie des localités sur le front.

25.00€

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Soissonnais 14-18 & Société historique de Soissons,
Des civils racontent

Cent ans après le déclenchement de la guerre, la voix de ceux qui l'ont vécue ne s'est pas tue. Si la voix des combattants est encore très présente, celle des civils est plus rare, boudée par les maisons d'édition et laissée à l'écart des commémorations.

Le petit groupe de sept personnages qui constitue ce recueil de témoignages ne prétend pas être représentatif de l'ensemble de la population soissonnaise. Il s'est constitué au gré des hasards de la conservation d'archives privées. Il comporte deux élus - le maire de Pommiers, Louis Brunehant, et l'adjoint au maire de Chassemy, Louis Isidore             Lavergne - en plus de la sous-préfète de Soissons, Mireille Andrieu. A ces notables locaux, on peut également ajouter un prêtre, l'abbé Denis Legrand, en charge de la paroisse de Crouy. Louis Isidore Lavergne, fils d'un manœuvre et d'une blanchisseuse, présente la particularité d'être d'origine modeste, Georges Macadré et Ernest Dupré n'ont, quant à eux, pas connu d'ascension sociale similaire : Georges Macadré est ouvrier à la distillerie de Vauxrot, habitant Cuffies et Ernest Dupré est garde-magasin au syndicat agricole à Soissons.

La lecture de ces sept récits montre combien chacun a vécu une guerre différente de celle des autres. Cela est dû à la situation particulière du Soissonnais, qui a vu passer l'armée allemande dans les premiers jours de septembre, armée qui revient après la déroute de la Bataille de la Marne pour se fixer sur la rive nord de l'Aisne. Les habitants ont donc connu l'invasion, les combats et pour certains d'entre eux, l'exil et l'occupation.

25.00€

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Denis Rolland, Le serment de Claudius Lafloque  

On croyait tout savoir de l'affaire des fusillés de Vingré, et pourtant !

L'analyse des archives judiciaires, aujourd'hui librement consultables, des archives privées inédites, de la presse des années vingt, des manuscrits inédits, permettent de jeter un regard nouveau sur cette affaire.

De nouveaux acteurs surgissent, en premier lieu Claudius Lafloque, la cheville ouvrière d'une réhabilitation incroyablement médiatisée. Mais aussi de nouveaux acteurs du drame, le sergent Diot, à l'origine de l'accusation, le commandant de La Selve qui  se suicide un mois après Vingré. Enfin, le général Dolot perçu comme fanatique par ses supérieurs.

L'analyse du contexte permet de mieux comprendre comment un tel drame a été rendu possible.

Une postface raconte ce que sont devenus ensuite les acteurs de la tragédie de Vingré après le jugement.

C'est donc, avec rigueur et en dehors de toute passion, une véritable mise à plat du dossier de l'affaire des fusillés de Vingré qui est proposée dans ce livre. 

15.00€

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Soissonnais 14-18, Sicard, médecin photographe dans les tranchées du Soissonnais
2001, 58 p.

Publication de Laurent Sicard (1894-1941) d’origine toulousaine part aux armées pendant la Première Guerre Mondiale dans le 417e R.I., le 1er avril 1915. Nommé médecin dans le 35e corps armée, il a laissé une intéressante production photographique concernant la vie des soldats pendant le conflit dans notre région entre avril 1915 et avril 1916. Cette œuvre a été le sujet d’une exposition par le croisement des écrits d’autres soldats comme le Lieutenant Etévé du 417e R.I. dans le donjon de Vic-sur-Aisne en novembre 2000.

Cet ouvrage se veut le recueil de cette exposition juxtaposant photographies et textes.

Publication Soissonnais 14-18

10.00€

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Soissonnais 14-18, Patrimoine 14-18
Quel avenir?
2012, 145 p.

Regards croisés d'association de terrain, d'historiens et de collectivités sur la sauvegarde et la valorisation des traces de la Grande Guerre sous toutes ses formes.

Avec la participation de:

Jeffrey AARNIO, Anne BELLOIN, Jean-Yves BONNARD, Yohann CHANOIR, Guy FLUCHER, Noël GENTEUR, Yann HARLAUT, Anne HERZOG, Jean-François JAGELSKI, Nicolas OFFENSTADT, Henri ORTHOLAN, Jean-Luc PAMART, Yann PROUILLET, Denis ROLLAND

18.00€

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Plaquette
Les oubliés du 8 août 1918, Ciry-Salsogne
2018, 24 pages

L'énigme du 8 août 1918 de Ciry-Salsogne a pu être résolue dans cet écrit abordant la guerre des pièges, la question des disparus et l'histoire d'un cimetière. Une carrière au-dessus de Ciry-Salsogne devient le tombeau des soldats. L'auteur, Jérome Buttet, s'est attaché à restituer  l'histoire de cet événement emblématique de la guerre des pièges livrée par les Allemands depuis leur recul du 18 juillet 1918. C'est aussi l'histoire de disparus, de leur destinée après la guerre, de leur traitement administratif spécifique et de la dilution de la mémoire de l'événement qui sont analysés.

10.00€

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Fascicule broché
Victoire en Soissonnais,1918-2018
2018, 36 p.

 Récits de juin 1918 et juillet 1918, descriptifs par communes, cartes, photographies des communes et troupes engagées.

5.00€

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Plaquette
Les débuts de la Grande guerre à Morsain

Les débuts de la Grande Guerre à Morsain
au travers des carnets de Georges Albert TROTIN
complétés par
le témoignage d'un Uhlan, des extraits de
l'historique de son régiment
et du "Val de Morsain".

10.00€

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Plaquette
Carnet de l'abbé Moreau

Préface ...
Les Allemands à Juvigny - Le temps des frayeurs du 31 août au 4 octobre 1914 ...

Sur le chemin de l'exode du 4 au 8 octobre ...

Les mois de captivité d'octobre 1914 à fin avril 1915 ...

10.00€

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Plaquette
Du Vietnam au Chemin des Dames, tirailleurs et travailleurs indochinois dans l'Aisne,1917-1920
2018, 38 pages

Les troupes coloniales indochinoises laissèrent des traces de leur passage dans l'Aisne sous la forme de graffitis. Jérôme Buttet analyse et interroge ces témoignages pour révéler certains caractères de leur identité, leur culture et des fragments de vie quotidienne.

10.00€

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Plaquette
Saint-Christophe-à-Berry à ses enfants
2018

Cet ouvrage réalisé par Marc Pamart apporte une explication sur les soldats morts pour la France inscrits sur le monument aux morts de Saint-Christophe-à-Berry, puis sur le déroulement local du conflit tout en incluant des extraits de lettres du Lieutenant Etévé.

10.00€

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Plaquette
Une famille pendant la Grande guerre
2018

Marc Pamart a travaillé sur l’histoire de sa famille, des paysans picards partis au combat dès les premiers jours d’août 1914. Ils doivent abandonner leur famille, les récoltes et leurs animaux sans se douter que leurs champs deviendraient une parcelle du front hérissée de barbelés entre Français et Allemands.

10.00€

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  Plaquette, 2014, composée de 4 chapitres et de photographies.

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Témoignage, écrit par un général libéré du poids de la censure 

"Adieu, mon Commandant" est la formule adressée par un soldat au chef de bataillon Alfred Guédeney avant un assaut le 25 décembre 1914.Ses souvenirs mettent ainsi en lumièrea violence des combats, les souffrances des hommes et les ordres d'un haut commandement à l'égard duquel il se montre souvent très critique.
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Fac-similé de l'édition originelle de 1931

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Clé USB  18 juillet 1918, traces de la 2e bataille de la Marne
384 photographies haute définition, 2018

 Photographies proposées en diaporama, principalement collectées lors des reportages photographiques 2017 et 2018. Figurent notamment les  monuments commémoratifs tel le monument de la Victoire de Chaudun. 10.00€

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